- EAN13
- 9782379316364
- Éditeur
- HumenSciences
- Date de publication
- 17/04/2024
- Collection
- Nature et Savoir
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Fiches UNIMARC
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Papier - HumenSciences 18,00
Il y a des milliers d’années, l’Homme a sélectionné et cultivé des plantes,
sans savoir pourquoi elles étaient comestibles. Aujourd’hui, la génétique
permet de comprendre les mécanismes à l’œuvre grâce au séquençage. C’est par
exemple le cas de la téosinte, ancêtre du maïs, dont on a découvert le premier
gène de domestication en 2001. C’est une protéine qu’elle contient qui fait la
différence, elle active ou non un gène responsable de la pousse des branches.
En privilégiant les plantes sans branches, plus faciles à récolter, le maïs
est né. Dans un récit vivant et accessible, François Parcy revient sur
l’histoire des plantes qu’on pense connaître (pomme de terre, amande, tomate,
chou…), leur biologie et la façon dont on les cultive. Étudier la
domestication, ce n’est pas seulement se pencher sur l’évolution et la
diversification du vivant. C’est aussi aborder les mutations comme des
phénomènes normaux et non diaboliques. Si les manipulations génétiques sont de
plus en plus sophistiquées, elles nous aident à relever les défis qui nous
attendent à cause du dérèglement climatique : adapter nos cultures pour
nourrir une population croissante.
sans savoir pourquoi elles étaient comestibles. Aujourd’hui, la génétique
permet de comprendre les mécanismes à l’œuvre grâce au séquençage. C’est par
exemple le cas de la téosinte, ancêtre du maïs, dont on a découvert le premier
gène de domestication en 2001. C’est une protéine qu’elle contient qui fait la
différence, elle active ou non un gène responsable de la pousse des branches.
En privilégiant les plantes sans branches, plus faciles à récolter, le maïs
est né. Dans un récit vivant et accessible, François Parcy revient sur
l’histoire des plantes qu’on pense connaître (pomme de terre, amande, tomate,
chou…), leur biologie et la façon dont on les cultive. Étudier la
domestication, ce n’est pas seulement se pencher sur l’évolution et la
diversification du vivant. C’est aussi aborder les mutations comme des
phénomènes normaux et non diaboliques. Si les manipulations génétiques sont de
plus en plus sophistiquées, elles nous aident à relever les défis qui nous
attendent à cause du dérèglement climatique : adapter nos cultures pour
nourrir une population croissante.
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