LA LIBRAIRIE SERA FERMÉE EXCEPTIONNELLEMENT LUNDI DE PÂQUES ET MARDI 2 AVRIL POUR INVENTAIRE

MERCI POUR VOTRE COMPRÉHENSION

 

EAN13
9782357910164
ISBN
978-2-35791-016-4
Éditeur
Atelier Fol'Fer
Date de publication
Collection
Collection Go West
Nombre de pages
271
Dimensions
24 x 17 cm
Poids
240 g
Langue
français
Code dewey
791.436
Fiches UNIMARC
S'identifier

Le Film noir américain 1940-1955

De

Atelier Fol'Fer

Collection Go West

Offres

e film noir américain, celui de l’âge d’or du cinéma hollywoodien, n’en finit pas de solliciter les interrogations. Objet de nombreuses études documentées de la part de spécialistes reconnus, il provoque plus directement l’amateur qu’il entraîne dans une fascinante plongée au sein d’un monde ténébreux, peuplé de masques séduisants et de pièges mortels.Forme d’art particulière, essentiellement définie par un style, le film noir des années 1940-1955 est construit à partir d’éléments réels poétisés par l’imagination des réalisateurs et l’esthétique des peintres-photographes de la lumière. Son attrait spécifique invite à une analyse orientée par des choix propres. Dans le cas présent, elle s’organise autour d’une perception immédiate et quasi matérielle des images et d’une re-création nostalgique de formes disparues. C’est la démarche qu’a tenté de suivre l’auteur de cet essai.Les grands et petits maîtres du film noir sont bien sûr évoqués : Robert Aldrich (En quatrième vitesse), Richard Brooks (Bas les masques), Michael Curtiz (Casablanca), Jules Dassin (Les Bas fonds de Frisco), Delmer Daves (Les passagers de la nuit), Edward Dmytrik (Adieu ma jolie), Allan Dwan (Deux rouquines dans la bagarre), Samuel Fuller (Le port de la drogue), Tay Garnett (Le facteur sonne toujours deux fois), Henry Hathaway (Niagara), Howard Hawks (Le grand sommeil), Alfred Hitchcok (La maison du Dr Edwardes), John Huston (Quand la ville dort), Stanley Kubrick (Ultime Razzia), Fritz Lang (Espions sur la Tamise), Joseph Mankiewicz (Quelque part dans la nuit), Vincente Minelli (Les ensorcelés), Max Ophüls (Pris au piège), Otto Preminger (Laura), Ray Nicholas (Les ruelles du malheur), Robert Siodmak (Les tueurs), Jacques Tourneur (Berlin Express), Charles Vidor (Gilda), King Vidor (La Garce), Joseph von Sternberg (Macao), Raoul Wallsh (L’enfer est à lui), Billy Wilder (Assurance sur la mort), Robert Wise (Nous avons gagné ce soir). Et quelques autres de moindre importance, mais non dépourvus de mérite. Evocation également des comédiens les plus emblématiques du film noir américain : « James Cagney, Humphrey Bogart, Georges Raft, Véronika Lake et sa célèbre mèche, Rita Hayworth en incandescente Gilda, Lana Turner en blonde fatale. »Ah ! Bogart, son chapeau mou, son Burberry fatigué, son mégot au coin des lèvres (l’Amérique n’avait pas encore inventé l’interdiction de fumer) et son cynisme désabusé… Et n’oublions pas sa compagne, l’envoûtante et énigmatique Lauren Bacall, qui fut en quelque sorte son double féminin dans la mythologie du film noir… Parmi ces troublantes beautés il faudrait aussi distinguer Mary Astor, Yvonne de Carlo, Ava Gardner, Barabara Stanwyck, Clair Trevor.
S'identifier pour envoyer des commentaires.