Ouvert tous les jours jusqu'au 24 décembre !
Du mardi au samedi de 10h à 19h30

Dimanche 8, 15 et 22
Lundi 9, 16, 23 et 30

de 11h à 19h

Mardi 24 et mardi 31 de 10h à 18h

Réouverture aux horaires habituels vendredi 27 et samedi 28

Pour recevoir à temps vos livres sous le sapin, nous vous conseillons d’anticiper vos achats en privilégiant les ouvrages en stock (points verts).

 

La Petite Soeur, Un portrait de Silvina Ocampo
EAN13
9782364687073
ISBN
978-2-36468-707-3
Éditeur
Editions du Sous-Sol
Date de publication
Collection
Feuilleton non-fiction
Nombre de pages
304
Dimensions
20,6 x 14,3 x 2,1 cm
Poids
302 g
Langue
français
Fiches UNIMARC
S'identifier

La Petite Soeur

Un portrait de Silvina Ocampo

De

Traduit par

Editions du Sous-Sol

Feuilleton non-fiction

Offres

Autre version disponible

“Dans ce portrait, on trouve une Silvina morcelée, une femme à recomposer.”
Affublée de ses lunettes noires à montures blanches, ses éternelles baskets rouges aux pieds, l’insaisissable Silvina Ocampo, à l’instar d’une Clarice Lispector ou d’une Amparo Dávila, est l’une des figures les plus talentueuses et étranges de la littérature sud-américaine.
Fille d’une famille aristocratique argentine, nouvelliste saluée par ses pairs mais méconnue du grand public de son vivant, elle est l’objet de nombreux mythes entourant son œuvre aussi bien que sa vie privée. Il y a cette langue singulière, qui lui vient peut-être de son éducation francophone.
Il y a la relation particulière qu’elle entretenait avec son mari, Adolfo Bioy Casares. Son amitié changeante et bavarde avec Borges, qui chaque soir dînait chez eux. Ses rapports ambigus avec sa sœur aînée, l’olympienne Victoria Ocampo. Les liaisons qu’on lui prête, entre autres avec la poétesse Alejandra Pizarnik. Et ses prémonitions inquiétantes…
À travers de nombreuses sources et les témoignages de son entourage, Mariana Enriquez questionne les mythes, lève parfois le voile sur les secrets et observe avec une intensité unique la vie de la petite soeur discrète qui aimait à se cacher. Le résultat est le portrait sensible et émouvant d’une femme attachante et sombre, intelligente et doucement perverse, possédant une imagination débordante (et des jambes spectaculaires). L’occasion pour l’autrice de Notre part de nuit de revendiquer avec force l’héritage d’Ocampo, sa grande soeur en littérature.
S'identifier pour envoyer des commentaires.

Autres contributions de...

Plus d'informations sur Mariana Enríquez
Plus d'informations sur Anne Plantagenet