- EAN13
- 9782867442186
- ISBN
- 978-2-86744-218-6
- Éditeur
- P.O.L.
- Date de publication
- 10/1991
- Collection
- Poésie
- Nombre de pages
- 72
- Dimensions
- 21 x 14 x 0,5 cm
- Poids
- 138 g
- Langue
- français
- Langue d'origine
- français
- Code dewey
- 841.914
- Fiches UNIMARC
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Genre : poésie, faite ici des mouvements les plus quotidiens du corps, du regard et de la pensée, refaits et repensés.
Sujet : variété de ces mouvements (dérive, chute, oscillation...), courbes décrites lors d'un transport (nage, mémoire ou promenade), petits gestes, petits mobiles.
Forme : syntaxe de ces mouvements, rythme qui fait franchir le pas, vers enjambés.
Allures naturelles : machinales et forcées, comme est la marche des animaux.
Les dix suites brèves qui composent ce livre ont pour thème chacune un mouvement accompli tous les jours, qu’une à cinq variations décomposent, interprètent, et surtout essaient d’imprimer. Le seul souci poétique de ces pages, par ailleurs sans apprêt, est rythmique : produire par tous les moyens – de la syntaxe, de la prosodie, de la ponctuation – un équilibre instable qui soit une légèreté en même temps qu’un entraînement, comme un enfant apprend à marcher, un derviche à tourner. Ces mouvements qui ne sont ni métaphoriques ni mécaniques, mais vécus sans qu’on s’y arrête, Pierre Alferi a choisi de les appeler «allures naturelles», par analogie avec la démarche instinctive des chevaux.
Sujet : variété de ces mouvements (dérive, chute, oscillation...), courbes décrites lors d'un transport (nage, mémoire ou promenade), petits gestes, petits mobiles.
Forme : syntaxe de ces mouvements, rythme qui fait franchir le pas, vers enjambés.
Allures naturelles : machinales et forcées, comme est la marche des animaux.
Les dix suites brèves qui composent ce livre ont pour thème chacune un mouvement accompli tous les jours, qu’une à cinq variations décomposent, interprètent, et surtout essaient d’imprimer. Le seul souci poétique de ces pages, par ailleurs sans apprêt, est rythmique : produire par tous les moyens – de la syntaxe, de la prosodie, de la ponctuation – un équilibre instable qui soit une légèreté en même temps qu’un entraînement, comme un enfant apprend à marcher, un derviche à tourner. Ces mouvements qui ne sont ni métaphoriques ni mécaniques, mais vécus sans qu’on s’y arrête, Pierre Alferi a choisi de les appeler «allures naturelles», par analogie avec la démarche instinctive des chevaux.
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