- EAN13
- 9782376874089
- Éditeur
- Éditions EMS
- Date de publication
- 05/11/2020
- Collection
- Les grands auteurs francophones
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Entreprendre : histoires d'une servitude volontaire
Michel Marchesnay
Éditions EMS
Les grands auteurs francophones
Autre version disponible
-
Papier - EMS Geodif 18,00
Rédigé avant l’irruption de l’épidémie de la Covid-19, cet ouvrage offre une
réflexion critique sur le capitalisme managérial. Sont énoncées et dénoncées
les faiblesses inhérentes aux bureaucraties et à la mondialisation. De
nouvelles attentes, dites hypermodernes, émergent, vers un nouveau capitalisme
qualifié d’« entrepreneurial ». Cette « révolution » est exposée en termes
simples, en dix thèmes pluridisciplinaires, allant de l’économie à
l’épistémologie.
Est dénoncée l’ignorance de la petite entreprise, en économie politique comme
en sciences morales et politiques, jusqu’à l’engouement récent pour la
création d’entreprise.
Systématiquement ignorée après Cantillon et Say, la petite entreprise
réapparaît aux États-Unis avec le courant critique du pragmatisme, initié par
Veblen et James, qui prône un « capitalisme artisanal », axé sur la recherche
de la singularité et du Bien Commun – sujet crucial lors de l’élection du
prochain Président. Prônant notamment un « capitalisme écologique », les
chercheurs révèlent l’immensité des formes, marchandes ou bénévoles,
enregistrées ou clandestines ?
En Europe et dans le monde francophone, l’enseignement et la recherche en
entrepreneuriat ont explosé, comme en témoignent les publications (manuels,
revues, etc.). On souhaite que cet ouvrage offre l’occasion de centrer la
problématique de l’après-crise sur le rôle de l’entrepreneur, au regard de
l’attente d’un capitalisme plus humain.
réflexion critique sur le capitalisme managérial. Sont énoncées et dénoncées
les faiblesses inhérentes aux bureaucraties et à la mondialisation. De
nouvelles attentes, dites hypermodernes, émergent, vers un nouveau capitalisme
qualifié d’« entrepreneurial ». Cette « révolution » est exposée en termes
simples, en dix thèmes pluridisciplinaires, allant de l’économie à
l’épistémologie.
Est dénoncée l’ignorance de la petite entreprise, en économie politique comme
en sciences morales et politiques, jusqu’à l’engouement récent pour la
création d’entreprise.
Systématiquement ignorée après Cantillon et Say, la petite entreprise
réapparaît aux États-Unis avec le courant critique du pragmatisme, initié par
Veblen et James, qui prône un « capitalisme artisanal », axé sur la recherche
de la singularité et du Bien Commun – sujet crucial lors de l’élection du
prochain Président. Prônant notamment un « capitalisme écologique », les
chercheurs révèlent l’immensité des formes, marchandes ou bénévoles,
enregistrées ou clandestines ?
En Europe et dans le monde francophone, l’enseignement et la recherche en
entrepreneuriat ont explosé, comme en témoignent les publications (manuels,
revues, etc.). On souhaite que cet ouvrage offre l’occasion de centrer la
problématique de l’après-crise sur le rôle de l’entrepreneur, au regard de
l’attente d’un capitalisme plus humain.
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