- EAN13
- 9791096673032
- Éditeur
- Editions Lazare et Capucine
- Date de publication
- 30/01/2017
- Langue
- français
- Fiches UNIMARC
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Est-ce depuis que Maradona a marqué de la main un but accordé à Dieu par la
presse et les supporters, que les joueurs multiplient les signes de croix sur
les terrains de football ? Tout le monde se réclame de Dieu à l’occasion, mais
on voudrait aussi nous faire admettre que croire peut tuer, en parlant de
guerres de religions ou de terroristes religieux. Et si on ne gagne pas au
Loto, eh bien, c’est qu’Il ne nous aimerait pas tant que ça, en fait.
Finalement, assis sur son petit nuage, Dieu pourrait se demander si on n’a pas
oublié l’essentiel, d’autant que, le dimanche, on tend à rencontrer plus de
croyants sur le gazon que dans les églises. Le message ne passe plus ? Les
druides et les chamanes vont-ils remplacer les prêtres ?
Après quatre romans historiques, Olivier de Lagausie change de ton et signe un
essai teinté d’humour pour aborder le thème du christianisme dont se
détournent les Français, une religion dont ils ne savent plus grand-chose mais
qu’ils commentent toujours avec passion au nom d’une supposée culture
chrétienne.
presse et les supporters, que les joueurs multiplient les signes de croix sur
les terrains de football ? Tout le monde se réclame de Dieu à l’occasion, mais
on voudrait aussi nous faire admettre que croire peut tuer, en parlant de
guerres de religions ou de terroristes religieux. Et si on ne gagne pas au
Loto, eh bien, c’est qu’Il ne nous aimerait pas tant que ça, en fait.
Finalement, assis sur son petit nuage, Dieu pourrait se demander si on n’a pas
oublié l’essentiel, d’autant que, le dimanche, on tend à rencontrer plus de
croyants sur le gazon que dans les églises. Le message ne passe plus ? Les
druides et les chamanes vont-ils remplacer les prêtres ?
Après quatre romans historiques, Olivier de Lagausie change de ton et signe un
essai teinté d’humour pour aborder le thème du christianisme dont se
détournent les Français, une religion dont ils ne savent plus grand-chose mais
qu’ils commentent toujours avec passion au nom d’une supposée culture
chrétienne.
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