- EAN13
- 9782859398828
- ISBN
- 978-2-85939-882-8
- Éditeur
- Presses Universitaires du Septentrion
- Date de publication
- 2005
- Collection
- Documents et témoignages
- Nombre de pages
- 336
- Dimensions
- 23,9 x 16 x 2,4 cm
- Poids
- 596 g
- Langue
- français
- Code dewey
- 944.28
- Fiches UNIMARC
- S'identifier
Dunkerque 1944-1945
Sur les chemins de la libération
Édité par Patrick Oddone
Presses Universitaires du Septentrion
Documents et témoignages
Autre version disponible
Symbole de l'effondrement de la France et des démocraties du continent
européen en 1940, Dunkerque, massivement bombardée et ayant perdu tout intérêt
stratégique pour les Alliés, fut aussi condamnée à être la ville la plus
tardivement libérée. À partir de septembre 1944, cette « poche », couvrant
toute l'agglomération dunkerquoise, érigée en « forteresse » par les Allemands
et commandée par un nazi halluciné, devint un « front oublié » où la guerre
joua les prolongations jusqu'au 9 mai 1945. Soixante ans plus tard, tandis que
s'effectue le passage de la mémoire à l'Histoire, des documents et témoignages
inédits ressurgissent, offrant de nouveaux éclairages sur cet ultime épisode
de la Seconde Guerre mondiale, permettant également une lecture croisée avec
les publications existantes, en particulier les plus récentes. La parole est
ainsi donnée aux témoins, dont deux prêtres atypiques, qui décrivent avec une
extrême précision les conditions de l'enfermement, la vie quotidienne des
populations civiles ayant refusé d'évacuer et les relations occupants-occupés.
Ce corpus est complété par des documents d'origine militaire qui relatent la
conduite des opérations, les forces en présence, la nature des combats et
l'environnement de ce siège qui retarda la renaissance de la cité de Jean Bart
et de son port.
européen en 1940, Dunkerque, massivement bombardée et ayant perdu tout intérêt
stratégique pour les Alliés, fut aussi condamnée à être la ville la plus
tardivement libérée. À partir de septembre 1944, cette « poche », couvrant
toute l'agglomération dunkerquoise, érigée en « forteresse » par les Allemands
et commandée par un nazi halluciné, devint un « front oublié » où la guerre
joua les prolongations jusqu'au 9 mai 1945. Soixante ans plus tard, tandis que
s'effectue le passage de la mémoire à l'Histoire, des documents et témoignages
inédits ressurgissent, offrant de nouveaux éclairages sur cet ultime épisode
de la Seconde Guerre mondiale, permettant également une lecture croisée avec
les publications existantes, en particulier les plus récentes. La parole est
ainsi donnée aux témoins, dont deux prêtres atypiques, qui décrivent avec une
extrême précision les conditions de l'enfermement, la vie quotidienne des
populations civiles ayant refusé d'évacuer et les relations occupants-occupés.
Ce corpus est complété par des documents d'origine militaire qui relatent la
conduite des opérations, les forces en présence, la nature des combats et
l'environnement de ce siège qui retarda la renaissance de la cité de Jean Bart
et de son port.
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