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Trois soeurs

Laura Poggioli

L'Iconoclaste

  • Conseillé par (Libraire)
    2 novembre 2022

    Entre roman et récit, Laura Poggioli nous fait découvrir, pour la première fois, sa plume. Une plume parfois tranchante, parfois douce, qui nous plonge dans un fait divers glaçant.
    Russie, 27 juillet 2018, trois sœurs assassinent leur père, parce que c’en était trop, parce qu’elles ne pouvaient plus subir les violences, les sévices.
    Et c’est cette histoire qui résonne dans le cœur de l’autrice, parce qu’à vingt ans, elle est tombée amoureuse de la Russie, et d’un homme. Et que « S’il te bat, c’est qu’il t’aime » dit un proverbe russe.
    Un roman qui nous fait découvrir une histoire terrible mais aussi un pays aimé, un pays qu’on connaît si peu. Un récit, tiré de faits réels, qui nous fait comprendre que le combat féministe n’est vraiment pas fini, nul part. Des vies ébranlées qui nous donnent envie de nous battre encore plus fort pour les droits des Femmes du monde entier.

    Séverine


  • Conseillé par (Libraire)
    27 août 2022

    Déchirant autant que captivant

    Un livre dont on ne sort pas indemne, qui laisse des traces dans l'inconscient du lecteur. Un livre qui révolte mais qu'on ne peut lâcher. Un premier roman sur la Russie contemporaine qu'il ne faut pas rater.


  • Conseillé par
    18 août 2022

    "S'il te bat, c'est qu'il t'aime"

    Russie, été 2018. Trois sœurs victimes de violences domestiques tuent leur père. Parricide ou légitime défense ? Syndrome d’abus, stress post-traumatique…. Des mois de procédures face à des valeurs patriarcales autoritaires installées depuis des siècles et où la prison se révèle mieux que de continuer la vie avec un tyran intouchable….

    C’est ce dont Laura Paggioli veut témoigner, romançant les faits à rebours, alternant avec son vécu personnel des violences intrafamiliales banalisées dans ce pays où les soutiens sont rares. Les constatations sont édifiantes et l’auteur partage pleinement cette ambivalence entre l’amour pour un pays et l’emprisonnement dans la violence de coupables impunis. Le confinement n’a pas arrangé la situation de la liberté des femmes.

    Premier roman brillant et saisissant.

    « Ce qui se passait au sein des foyers devait y rester, nombreux Russes le pensaient… »