- EAN13
- 9782714310095
- ISBN
- 978-2-7143-1009-5
- Éditeur
- José Corti
- Date de publication
- 05/11/2009
- Collection
- domaine français
- Nombre de pages
- 80
- Dimensions
- 21,1 x 14 x 0,8 cm
- Poids
- 110 g
- Code dewey
- 841
- Fiches UNIMARC
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Pierre CHAPPUIS
Comme un léger sommeil (Poésie)
Littérature française
ISBN 978-2-7143-1009-5
88 pages –12 Euros
Parution 5 Novembre 2009
Que soudain, au détour de l’instant, un bruissement de feuilles, un banc de brouillard qui se déchire, un rien s’empare de nous et, si infime soit le lien, nous voilà tout à la réalité qui nous environne, régénérés comme on peut l’être à l’entrée dans le sommeil, affranchis de la chaîne des heures et des jours, et de nos embarras.
En retour, de notre part, nous le sentons, les mots devraient venir aux lèvres comme l’eau vient à la bouche à la vue de certains mets. Mots (sinon point de poème) eux-mêmes ressourcés, jaillissant ou c’est tout comme, et qui, par le jeu des relations établies entre eux, voudraient en toute discrétion faire place aux choses elles-mêmes, réveillant en nous – mots et paysages nous sont mémoire – de secrètes résonances intérieures.
Au centre de ce livre est venu se placer, naturellement, un groupe de poèmes en prose intitulé L’envers des mots, autour duquel gravitent, se faisant pendant, deux suites de poèmes brefs. Ainsi ont trouvé à se rejoindre les deux courants ayant présidé aux recueils précédents, D’un pas suspendu et À portée de la voix, d’une part et, d’autre part, Pleine marges et Mon murmure mon souffle, également publiés à la librairie José Corti.
P. Ch.
Comme un léger sommeil (Poésie)
Littérature française
ISBN 978-2-7143-1009-5
88 pages –12 Euros
Parution 5 Novembre 2009
Que soudain, au détour de l’instant, un bruissement de feuilles, un banc de brouillard qui se déchire, un rien s’empare de nous et, si infime soit le lien, nous voilà tout à la réalité qui nous environne, régénérés comme on peut l’être à l’entrée dans le sommeil, affranchis de la chaîne des heures et des jours, et de nos embarras.
En retour, de notre part, nous le sentons, les mots devraient venir aux lèvres comme l’eau vient à la bouche à la vue de certains mets. Mots (sinon point de poème) eux-mêmes ressourcés, jaillissant ou c’est tout comme, et qui, par le jeu des relations établies entre eux, voudraient en toute discrétion faire place aux choses elles-mêmes, réveillant en nous – mots et paysages nous sont mémoire – de secrètes résonances intérieures.
Au centre de ce livre est venu se placer, naturellement, un groupe de poèmes en prose intitulé L’envers des mots, autour duquel gravitent, se faisant pendant, deux suites de poèmes brefs. Ainsi ont trouvé à se rejoindre les deux courants ayant présidé aux recueils précédents, D’un pas suspendu et À portée de la voix, d’une part et, d’autre part, Pleine marges et Mon murmure mon souffle, également publiés à la librairie José Corti.
P. Ch.
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