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Comme à Hollywood, roman
EAN13
9782221107751
ISBN
978-2-221-10775-1
Éditeur
Robert Laffont
Date de publication
Nombre de pages
288
Dimensions
21,6 x 13,8 x 2,4 cm
Poids
346 g
Langue
français
Code dewey
843
Fiches UNIMARC
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Comme à Hollywood

roman

De

Robert Laffont

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Parce que son existence se déroule sous les feux de la rampe, il ne peut pas vivre une histoire d'amour comme les autres.
Il est l'acteur le mieux payé d'Hollywood, la plus grande star du cinéma actuel. Elle vit à Paris où elle donne des cours de danse classique. Au cours d'une tournée européenne, il l'a rencontrée dans une boite de nuit. Quelques années plus tard, il raconte.Les premières nuits. Le retour aux États-Unis. La vie qui continue. À l'époque il était un homme qui n'avait plus goût à rien - si on laissait de côté les femmes trop faciles, les alcools trop forts, les drogues trop souvent. Mais quelque chose de très doux qui ressemblait à un espoir amoureux avait pris pour lui les traits de Juliette. Après s'être croisés à Paris, ils s'étaient rejoints à Los Angeles. Ils s'aimaient. La guerre avait tout de suite été déclarée. D'un côté, les producteurs, les agents, les ex, les dollars, les studios, les foules derrière les barrières, les journalistes. De l'autre, une jeune femme isolée, un peu lointaine. De festivals en projections, des rues de Rome aux plages californiennes, Juliette avait dû tout apprendre : marcher avec les gardes du corps, se montrer aux Oscars, se cacher pour être deux, répondre aux interviews, se méfier, sourire, mentir. Cauchemar ou conte de fées ? Les choses sont toujours un peu plus compliquées. Le grand acteur avait été un petit garçon mal aimé dans une drôle de famille. Après des succès planétaires et un premier mariage fabriqué de toutes pièces pour les magazines, sa fragilité n'avait pas diminué. Courageuse dans ce rude univers, Juliette s'était battue comme elle avait pu. Elle n'avait pas rejoué Pretty Woman mais elle n'avait pas imité la chèvre de M. Seguin qui se laisse dévorer par le loup quand le jour se lève. Hollywood avait jugé que la lutte était inégale et qu'elle avait perdu la partie. L'homme n'en était pas certain, l'amour, souvent, c'est à qui perd gagne, se disait-il.
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